Des enfants meurent de faim
Quarante-mille enfants décèdent chaque jour,
Un funèbre fléau, — La pauvreté règne
Depuis que l’eau dorée et fraiche ne dédaigne
Arroser leurs pays ! Meurt ce grand mot labour.
Et j’ai la rage au ventre en ces moments pénibles,
La famine châtie ces hommes, sans demain….
Fleurit le gaspillage effréné, c’est inhumain,
Ils meurent de la faim et j’hurle aux impossibles !
Messieurs les présidents je vous en revendique
Que c’est un déshonneur, cela devient critique,
La mort prend le dessus et couronne le riche.
— La tristesse cultive et vous douche d’argent !
Le pouvoir des seigneurs restera écœurant
Une honte sans remords cuisant qui vous déniche !
James le 17/01/09